«De Fer et de Pierre» est le constat d’une révolution manquée, celle qui promettait à l’homme des conditions de vie meilleure, mais qui ne se sont pas réalisées. C’est à travers différentes recherches que j’ai pu synthétiser la philosophie de cette œuvre de la même façon que cet écrit de Jacques Marseille, Professeur à l’université Paris I, historien de l’économie :
« Cette révolution de l’abondance a créé le paradoxe de la pauvreté moderne : depuis 1820, le pouvoir d’achat des habitants de l’Europe occidentale a été multiplié par 20, l’espérance de vie à la naissance s’est accrue de plus de 40 ans et les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres ont été divisées par 6. Pourtant, la pauvreté n’a pas disparu et, manifestement, les gens ne sont pas plus heureux. ».